De Gaulle en 1961 (par Egon Steiner)
Le 19 Juillet 1960, à propos de Marouska, le Général de Gaulle félicite Armand Toupet par ces quelques mots : « Mon cher Toupet, vous avez refusé la défaite, refusé la captivité et vous racontez dans un style alerte et vivant, les exploits que ce double refus vous a conduit à réaliser. De tout cela, je vous fait mon compliment... »
Prisonnier de guerre aux commandos XVIIB, XVIIA, VIIA, IIIA, IIIB, IIIC, IIID, à Rawa-Ruska, Armand Toupet s’est évadé par deux fois : le 20 août 1941 et le 24 février 1942
Incorporé en 1939 au régiment du 2ème Génie, en tant que 2ème classe, il est fait prisonnier à Saint Briac (Ille-et-Vilaine) le 28 juin 1940.
Parti à pied de Timelkam (Autriche) le 19 Août 1941, il est repris à Laufen (frontière austro-allemande) le 24 Août 1941.
« C’est un commando de mine de charbon. Nous sommes environ 250 et le camp est entouré d’une palissade en bois de 2m, surmonté d’un barbelé. Autour, un chemin de ronde éclairé. Une sentinelle à l’intérieur du camp, une à l’extérieur.
Nous profitons que la sentinelle à l’extérieur du camp est à une extrémité et que celle de l’intérieur est occupée par un camarade qui lui offre une cigarette pour franchir, deux camarades et moi, sous une pluie battante, à dix heures du soir, la palissade qui nous sépare du chemin de ronde. Cette dernière est traversée d’un bond et nous gagnons les bois voisins.
Nous ne marchons que la nuit, car nous n’avons que des costumes militaires retaillés et teints en noir. Nous sommes arrêtés dans la cinquième nuit à Laufen (à 20 km au nord de Salzbourg) en franchissant la Salzach à une heure du matin par les gardiens d’un oflag* anglais se trouvant juste à l’extrémité du pont. »
Il sera alors remis en prison.
*Oflag ou Offizier-Lager : en Allemagne, nom donné aux camps de prisonniers destinés aux officiers durant la Seconde Guerre mondiale.
Parti de Dorf an der Enns (près de Steyr, en Autriche) le 24 février 1942, par le rapide Vienne-Paris, il est repris le 25 février 1942 à Ulm.
« Je suis avec un de mes camarades de ma première évasion, Albert Acheray. Je suis homme de confiance du commando. Pendant trois mois, nous préparons notre évasion par l’économie de nos cigarettes et de nos vivres, nous achetons à des civils serbes, des costumes civils neufs, pardessus, bottes et chapeaux. Dans ce camp nous ne sommes qu’entourés de barbelés car nous faisons partie d’un immense chantier, entreprenant un barrage sur l’Enns. Dans la nuit du quatorze au quinze, nous franchissons les barbelés, et avec la complicité d’un autre camarade, nous atteignons la baraque de l’ingénieur en chef. Nous y pénétrons et, tandis qu’Acheray fait le guet, dehors, dans la neige, je fouille un peu tous les tiroirs, m’empare de papier en blanc, cartes de travail, de maladie pour les étrangers, etc. Nous repartons au camp.
Dans la nuit, du 21 au 22 février, même action, mais cette fois dans le bureau du directeur. Installé à la machine à écrire, j’établis de faux papiers aux noms de deux Lorrains travaillant volontairement à la firme PH. Holzmann avec ordre de mission pour Metz comportant photographies et divers cachets de la firme. Le tout demande une heure et demie pendant que mon camarade s’impatiente dehors dans cinquante centimètres de neige. Nous retournons au camp.
L’après-midi du dimanche, je confectionne deux cachets de l’Arbeitsamt qui manquaient sur les photos. Le vingt-quatre au soir, après avoir fait prendre un billet pour Linz par un russe civil, nous refranchissons en civil les barbelés et prenons le train. A Linz, je prends un billet pour Metz où nous comptons sur une filière. Installés dans le Vienne-Paris, nous répondons avec succès aux divers contrôles, mais la Gestapo nous cueille dans le rapide entre Augsbourg et Ulm, et nous fait descendre à Ulm (Ludwigsburg). »
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Armand Toupet est alors retenu prisonnier aux Stalags VIIA et XVIIA du 28 Février 1942 au 1er Avril 1942 avant d’être enfermé au camp de concentration de Rawa-Ruska (Stalag 325) en Ukraine, du 15 avril 1942 au 15 août 1942, où il porte le matricule 12.857 XVIIB. Le camp de représailles de Rawa-Ruska a été créé par les nazis pour traiter le cas des évadés et autres récidivistes, désignés comme « terroristes ». Lors de son procès à Nuremberg, le commandant du camp déclare que le souhait d’Himmler était d'anéantir tous les prisonniers français de Rawa-Ruska.
Le 26 mai 1946, François Villatte, de Saint-Amand (Cher) témoigne :
« J’ai connu Armand Toupet au début de juin 1942, au Centre de Rassemblement de Ludwigsburg, où les évadés malchanceux attendaient leur départ pour la Pologne. Toupet me raconta ses deux tentatives d’évasion, et comment il avait été récemment repris, dans le train Vienne-Strasbourg. Toupet arriva par le même train que moi à Rawa-Ruska, où je le quittai le 12 juillet 1942. »
Du 15 août 1942 au 30 octobre 1942, Armand Toupet est au camp de discipline des marais de Chölm (Chełm) en Pologne.
S’en suivront, du 30 Octobre 1942 au 20 Avril 1945, plusieurs Kommandos* (Stalags IIIA, IIIB, IIID) et un an de discipline en Spreewald
À propos de cette époque, Armand Toupet a écrit :
« Outre ces deux évasions qui me valurent la déportation à Rawa-Ruska (où je figure sous le n°98 de l’Amicale du Berry de Rawa-Ruska, actuellement entre les mains de Mr. Desquand Maurice - 41, rue Gambon à Bourges), j’ai été arrêté en Mars 1944 au Kommando de Strausberg, Stalag IIIC pour avoir voulu faire évader cinquante camarades. Dénoncé par une polonaise, et accusé de sabotage et d’espionnage, je ne dus mon salut qu’à la mansuétude de l’officier de justice du Stalag IIIC. »
Il est alors noté :
« À Berlin, a refusé en 1944 de passer civil et a été condamné au déblaiement des bombardements américains. A été arrêté en 1944 par la Gestapo pour organisation chaîne d’évasion (ne possède aucune preuve). »
Armand Toupet est démobilisé le 31 Mai 1945 (n° 6.474). Après la guerre, quand on lui demandera s'il existe des témoins de ces événements, il citera Albert ACHERAY, 12° RCA, premier escadron, RAMBOUILLET, Seine-et-Oise et Jean PÉRÉBÉOZEN, Bourg de PLOUVORN, Finistère.
*Kommando : unité de travail forcé
Dès 1961, trois ans après la publication du roman Marouska, plusieurs producteurs s'intéressent à lui et souhaitent acquérir les droits pour l'adapter au cinéma. En avril 1963, le producteur Raymond Froment et le cinéaste Christian-Jaque (le réalisateur des films Les Disparus de Saint-Agil et de Fanfan la Tulipe) s'intéressent à leur tour au roman. Malheureusement quelques difficultés commencent à freiner l'avancée du projet : certaines personnes ne souhaitent pas qu'on cite nommément le camp de Rawa-Ruska. Pour faire avancer le dossier, Armand Toupet décide de demander une audience au Ministre des Affaires Culturelles de l'époque, le grand écrivain André Malraux. Il sera reçu le 25 avril 1963 par J. Colonna, membre du cabinet du Ministre.
Pierre Lherminier, directeur de collection chez Seghers promet alors d’œuvrer pour faire rééditer Marouska dans une grande maison d'édition, par exemple chez Julliard.
L'année 1963, Christian-Jaque tourne son film La Tulipe Noire dans les montagnes espagnoles à 80 km de Madrid. Avec lui, la star du film, un jeune acteur de 28 ans qui a reçu la consécration deux ans plus tôt grâce au film Plein Soleil, Alain Delon. Christian-Jaque correspond à plusieurs reprises avec Armand Toupet et lui répète son intérêt pour une adaptation au cinéma du roman même si Raymond Florent ne produisait pas le film. Il en a parlé à Alain Delon qui se montre intéressé par le projet.
Armand Toupet le 25 mars 1963 avec le réalisateur Christian-Jaque et sa femme Laurence Christol
En 1964, Armand Toupet décide alors de s'adresser à la Gaumont, à Paris. Son directeur Alain Poiré voyant les difficultés logistiques et les grandes dépenses qu'engendreraient un tel film décline la proposition. En 1965, Armand Toupet pense alors à une co-production franco-soviétique, Christian-Jaque n'est pas hostile à cette idée, arguant qu'il jouit d'un belle notoriété en U.R.S.S.
Jerzy Stefan Stawiński à Varsovie en 2009 par Mariusz Kubik (www.mariuszkubik.pl - sous licence CC BY 3.0 via Wikimedia Commons)
Le 25 Juillet 1969, Armand Toupet se rend à Varsovie. Le polonais Jerzy Stefan Stawiński et le français Guy Pérol souhaitent à leur tour réaliser le film. 3 ans plus tard, Jerzy Stawiński et le ministre de l'époque invitent Armand Toupet à Varsovie pour réfléchir à l'adaptation de Marouska et son tournage en Pologne. Le producteur serait Jean Kerchner alors PDG du Consortium Financier de Production de Films.
Au final, le projet sera finalement abandonné après plus de dix ans de tractations et d'espoirs déçus pour le romancier berrichon qui rêvait de voir le roman de sa jeunesse porté à l'écran.
Ouvriers de la Fonderie (Collection Hervé Colas)
« II y a de cela une soixantaine d'années et pourtant les faits demeurent encore gravés dans ma mémoire. C'était en 1927 ou 1928, je ne saurais trop le préciser et j'avais huit ou neuf ans. À cette époque, les manifestations du premier Mai donnaient lieu à de véritables affrontements entre les masses ouvrières et les gouvernements en place. Les premiers voulaient faire de ce jour leur véritable fête du travail, arguant que toutes les autres avaient un caractère religieux et les seconds ne voulaient y souscrire à aucun prix. Toute manifestation de rue, tout défilé étaient strictement interdits et réprimés sérieusement.
J'habitais alors à Bourges dans une cour baptisée par ses occupants « Cour des miracles », sise au 27 de la rue Émile-Martin dénommée rue de Crosses, juste en face de la place du Commandant-Martin dite place du Grand Gouillat. Je me souviens très bien. Il faisait un temps magnifique et, dès neuf heures du matin, tout le monde était en émoi y compris les gosses. La manifestation devait venir de la place des Marronniers, descendre la rue de Crosses et atteindre la place du Fin Renard où se trouve notamment une des grandes portes des Établissements Militaires. »
« À l'heure prévue, je la vis arriver. En tête venaient les amputés de guerre dans leur petite voiture — nous n'étions qu'à dix ans de la fin de la « grande tourmente » — puis les porte-drapeaux, beaucoup de rouges et quelques-uns de noirs, fanions des anarchistes, suivis de l'immense troupe des ouvriers lesquels étaient, pour la plupart, ceux de La Fonderie et de la Pyrotechnie. Tout allait bien et le chant de l'Internationale entraînait le défilé qui, il faut le dire, paraissait assez débonnaire. Comme tous les gamins du quartier, j'entrepris de le suivre en marchant sur le trottoir. Seulement voilà : à la hauteur de l'entreprise Fradet, la gendarmerie à cheval, assistée de la troupe barrait le chemin. Moment d'hésitation. Que faire ? Se disperser comme il lui en était intimé l'ordre ? Il n'en était pas question. Et puis, tous ces manifestants n'étaient-ils pas d'anciens soldats qui, durant quatre longues années, avaient appris à se battre et à dominer leur peur ? Le refus fut catégorique. »
Manifestation place Séraucourt à Bourges, le 1er mai 1909 - antérieure au récit, mais avec un cortège impressionnant (Collection Hervé Colas)
Gendarmes à cheval (Collection Milliard-Paré)
« Laquelle des deux parties en présence allait céder ? La gendarmerie ne pouvait l'envisager et elle entreprit de charger frappant de droite à gauche du plat du sabre. Les chevaux entrèrent aussi dans la foule, renversant les uns et piétinant les autres. Ce fut la stupéfaction générale remplacée aussitôt par l'instinct de la bataille. Face à l'entreprise Fradet, une belle maison était en construction avec ses échafaudages et ses tas de briques en réserve. Pour les anciens combattants, c'était un nouveau Fort de Vaux qui s'offrait à eux. Ils s'y engouffrèrent rapidement et, de là, contre-attaquèrent en se servant des briques comme ils le faisaient des grenades quand ils étaient dans les tranchées.
Ce fut une belle bataille. Surtout que certains, sans doute de prévoyants « anars », s'étaient munis en douce de bâtons au bout desquels ils avaient fixé des lames de rasoir leur permettant d'attaquer les pattes des chevaux et de leur couper les jarrets. Ce qu'ils firent à plusieurs reprises avec succès. Malgré cette belle défense, la maréchaussée demeura maîtresse de la situation et les manifestants bousculés dûrent remonter la rue jusqu'à la place des Marronniers... où l'armée les attendait de pied ferme. C'était trop, beaucoup trop et aux accents du chant de Montéhus : « Petit Piou-Piou, n'tire pas sur nous, nous sommes tes frères... », la dispersion se fit. En ce temps-là, le Premier Mai n'était pas seulement la tète du brin de muguet que l'on offre aux dames. »
« En avril 1945, prisonnier, je me trouve à Berlin, ville en ruine. Le matin du 27 avril 1945, alors que les Russes attaquent, je suis devant le porte de Brandebourg. Un petit avion se pose sur la place. Une jeune femme en descend et fait de grands signes, demandant de l’aide pour un officier blessé au pied. C’était Hanna Reitsch et le général Von Greim. »
Propos d’Armand Toupet recueillis le 5 novembre 2004 par P.Martinat dans « le Berry Républicain »
Armand Toupet, le 14 mai 1966, alors qu’il prépare son fameux livre Combat pour les V1 va voir l’aviatrice allemande à Francfort pour un entretien afin de recueillir ses souvenirs de la chute de Berlin en avril 1945. À plusieurs reprises, Armand Toupet aura l’occasion de témoigner de la chute du IIIème Reich grâce aux journalistes du Berry Républicain.
En 2004, il réagira à la sortie du film La Chute, en comparant avec les événements dont il a été témoin lors de la Bataille de Berlin.
Roland Dorgelès (1923)
À la fin des années 1960, l'écrivain Roland Dorgelès, président de l'Académie Goncourt et de l'Association des écrivains combattants, félicite l'écrivain en ces mots « Cher jeune camarade, j'ai suivi avec un intérêt soutenu votre Bouzoute dans les bois et marécages de Sologne. On tremble pour elle et l'on respire quand elle s'éloigne dans la voiture des bohémiens. On tirerait de ce récit romantique un excellent film. Je le souhaite pour vous. Roland Dorgelès. »
En avril 1967, pour faire la promotion de la Journée des Écrivains du Centre organisée à Sancerre, Armand Toupet correspond avec de nombreuses célébrités du milieu littéraire. Il envoie une invitation à l'écrivain Maurice Genevoix de l'Académie Française. L'écrivain, natif de Bourgogne décline l'invitation, retenu à Monaco, mais se déclare touché par l'invitation lui adressant ses « fidèles pensées de ligérien », habitant du Val de Loire.
Armand Toupet échange ainsi avec des personnalités de toutes sortes : Jean-Louis Boncœur, comédien, conteur et écrivain berrichon ; Pierre de Boisdeffre, directeur de la Radiodiffusion française à l’ORTF ; Roger Dion du Collège de France ; Georges Eveillé alias L'Gars Lucas, comédien poète qui représente le pays berrichon dans les cabarets de Montmartre ; Georges Blanchard, écrivain et poète nivernais ; Raoul Coutant, poète berrichon ; Georges Lubin, écrivain spécialiste de George Sand, Hélène Fuchs et Jean Drouillet, écrivains lauréats de l'Académie Française…
Dès 1966, la télévision régionale s'intéresse au destin d'Armand Toupet et lui consacre une émission. Plus tard, les romans Danuta et Les Clous de Satan ont le privilège de paraître sous forme de feuilletons dans la presse quotidienne régionale (Le Berry Républicain). Le roman Les Clous de Satan a également été adapté par Radio-France Berry Sud (ancien nom de France Bleu Berry) qui en a fait une fiction radiophonique à épisodes.
En 1975, une jeune dessinatrice de Vierzon, Marie-Christine Rat, 14 ans, débrouillarde et talentueuse, se passionne pour la bédé. Élève au collège Albert Camus de Vierzon, elle participe au fanzine Déridéra de la MJC Séraucourt de Bourges avec les dessinateurs Lerouge, Albert Poglio et le célèbre Bernard Capo alors âgé de 25 ans. L'année suivante, elle décide de se lancer dans un nouveau projet avec les conseils d'Albert Poglio, dessinateur de presse (surnommé « Monsieur Arsenic ») : adapter le roman Croucougnousse en bandes-dessinées. Armand Toupet s'occupera du découpage et du scénario et la jeune dessinatrice de la mise en image.
Pour attirer les éditeurs, Marie-Christine Rat, Albert Poglio, Armand Toupet et Maxime Guénin alias Croucougnousse participent en mai 1976 au Grand Festival de Bandes Dessinées de Vierzon. Hélas, au bout de quelques mois, la jeune fille peine à mener à terme ce projet trop ambitieux pour son âge. Avec un emploi du temps chargé (entre les études, le dessin et les tâches ménagères du foyer familial), elle se décourage. Elle abandonnera son entreprise au bout d'une douzaine de pages...
Violoniste autodidacte, amateur de musique et de poésie, Armand Toupet a été un moment tenté par une incursion dans le monde de la Chanson Française. En 1977, lors d'un radio-crochet RMC à la Foire de Bourges où il dédicace ses derniers romans, l'écrivain d'Henrichemont repère le talent d'une lycéenne berruyère originaire de Sainte-Solange, qui chante accompagnée de sa guitare. Il lui offre un texte de chanson inspiré par la volonté et la fraîcheur de la jeune artiste : le Printemps. Cette rencontre sera raconté dans un article de la Nouvelle République.
En 1976, pendant les élections cantonales, Armand Toupet écrit dans la Nouvelle République du Centre, un « programme minimum » humoristique :
Ayant l'impression d'être ridiculisés par le roman Croucougnousse populaire dans le pays fort, quelques éminents personnages d'Henrichemont se fendent d'un communiqué, billet d'humeur au journal La Nouvelle République. Lisez plutôt >
Armand Toupet aimait dédicacer ses ouvrages dans les librairies de sa région ainsi qu’au cours de diverses manifestations culturelles : Printemps de Bourges, Salon des Écrivains Combattants à Paris, Salon de Poitiers (où il remporta deux années de suite le Prix du roman historique de Vienne) ou encore le Salon du Livre de l’Été à Metz où son livre L’Enfant à l’étoile jaune fut proclamé Lauréat du Livre de l’Été Jeunesse. Même réussite lors de la présentation de son polar L’Assassin des Dames de Metz.
4 livres pour enfants édités chez Hemma ont été traduits en espagnol : L’aigle du Caucase, La planète inconnue, Les inconnus du ciel et Le violon du diable.
Armand Toupet était un écrivain particulièrement productif. Tous ses manuscrits n’ont pas été édités. Les maisons d’édition qui souhaiteraient les lire peuvent nous contacter.